En effet, l’iconique POSCA, le marqueur internationalement connu et reconnu, est avant tout une marque. Et après plusieurs années de recherches, ce sont des pastels et des crayons de couleurs qui sont mis à disposition du grand public. Un événement que l’on a souhaité vous faire partager dans un premier temps avec le retour d’expériences de deux artistes qui connaissent très bien la marque depuis plusieurs dizaines d’années : Nadège Dauvergne et Ernesto Novo.
On ne présente plus Ernesto, qui est l’un des plus anciens collaborateurs de POSCA, et qui enchaîne les projets. Il nous a fait un retour sur les PASTEL à la cire et à l’huile – en boite de 24 couleurs, depuis le train qui l’emmenait à Cannes pour les fêtes de fin d’année : « L’avantage des pastels, c’est qu’elles sont très couvrantes, et on peut les mélanger avec le doigt pour réaliser des dégradés. On peut travailler avec une couleur claire sur un aplat foncé, et ça fonctionne sur plein de supports différents. Ça fonctionne très bien pour les aplats, car elles sont relativement larges, donc pour rehausser, avec un dessin ou des détails, on utilisera un POSCA classique ou les PENCIL, comme ça c’est vraiment parfait. »
(Ci-dessous le dessin test de Ernesto -> James Arthur Baldwin. Né le 2 août 1924 à Harlem, New York et mort le 1ᵉʳ décembre 1987 à Saint-Paul-de-Vence, dans les Alpes-Maritimes, en France. C’est un écrivain américain, auteur de romans, de poésies, de nouvelles, de pièces de théâtre et d’essais.)